Sauté minute épicé aux oignons et à la coriandre

Une petite recette que j’ai programmé avant de partir. Lorsque vous la lirez, je serai en train de profiter du soleil de Provence, du moins je l’espère …

J’avais diverses viandes déjà coupées en tranches minces, restant d’une pierrade. Et c’est en voyant une recette de Clémence, sur son blog Les tentations culinaires que j’ai trouvé l’inspiration pour finir ces restes : un plat vite fait et savoureux.

Sauté minute épicé aux oignons et à la coriandre

Pour 3 personnes :

300 g de viandes coupées en fines lamelles (j’avais du porc, du canard, de l’agneau et du boeuf)
3 oignons
1 CC de gingembre en poudre
1 CC de coriandre en poudre
1 CC de cumin en poudre
1 CS de coriandre fraîche ciselée
huile d’olive
sel, poivre

Peler et émincer les oignons, les faire revenir sans coloration avec un peu d’huile d’olive pendant 5 min.
Ajouter les épices en poudre, mélanger, laisser revenir encore 2 min.
Couvrir et laisser cuire à feu doux pendant 10 min, les oignons doivent être fondants.
Monter le feu et saisir rapidement les viandes en commençant par le porc, puis agneau et canard et enfin le boeuf.
Saler, poivrer, parsemer de coriandre ciselée et servir.

J’ai accompagné d’un riz basmati.




Tarte ricotta, roquette et camembert

C’est sur le blog de Mona, En attendant la révolution, je cuisine, que j’ai trouvé cette tarte salée. J’ai modifié quelques ingrédients en fonction de ceux que j’avais, mais j’ai gardé cette très belle association de la roquette, dont j’aime beaucoup la saveur, et du camembert.

La roquette vient alléger le côté un peu pâteux et collant du camembert chaud et le camembert modère le goût de la roquette : ils vont vraiment très bien ensemble.

Tarte ricotta, roquette et camembert

1 pâte feuilletée
100 g de roquette
1 pot de ricotta
3 oeufs
1 camembert au lait cru
sel, poivre

Equeuter, laver et essorer la roquette.
La mixer avec la ricotta et les oeufs, saler et poivrer.
Ajouter le camembert coupé en dés.
Foncer un moule avec la pâte et verser la préparation.
Cuire au four à 200 °C pendant environ 1/2 h.

Je l’ai servie avec une salade de … roquette !

Nids printaniers de mozzarella

Voici la petite entrée que j’avais imaginée pour Pâques. Fraîche et vite faite, elle renouvelle la présentation de la classique tomate-mozzarella. A décliner avec d’autres légumes …

Nids printaniers de mozzarella

1 boule de mozzarella par personne
des tomates-cerise
des radis
des oignons nouveaux avec les tiges
pesto
roquette

Laver et préparer les légumes.
Couper les radis en rondelles fines, émincer les oignons avec leurs tiges, couper les tomates-cerise en deux.
Creuser les boules de mozzarella, couper en petits dés une partie de la pâte extraite (le reste pourra servir pour une pizza).
Mélanger radis, tomates, oignons et dés de mozzarella.
Farcir les boules évidées.
Servir avec roquette et pesto. Chacun mélangera dans son assiette.

La prochaine fois, j’ajouterai un peu de vinaigre balsamique au pesto pour relever davantage.

Entremets pistache, citron et framboise

C’est ma période pistache-citron : je cherchais une idée et c’est sur le blog Beau à la louche de Loukoum que j’ai trouvé ce que je cherchais : une mousse au citron qui ne devait pas être d’une acidité trop agressive par la présence de mascarpone. Je l’ai déposée comme Loukoum sur des disques de dacquoise. N’ayant pas de framboises fraîches, j’ai remplacé les fruits entiers par une gelée.

La mousse est comme je l’imaginais : pas agressive du tout, bien onctueuse. Le côté acidulé du citron et de la framboise est bien équilibré par la dacquoise douce et sucrée : un dessert léger (en bouche !),plein de saveurs, frais et délicieux.

Entremets pistache, citron et framboise

Pour 6 entremets individuels :

pour la dacquoise, j’ai repris ma recette, comme pour cet entremets au chocolat blanc :
20 g de pistaches non salées
3 blancs d’oeuf
30 g de sucre
75 g de poudre d’amande
75 g de sucre glace
20 g de pâte à pistache

Hacher finement les pistaches, les étaler sur une plaque et les torréfier au four à 140 °C pendant 5 min. Laisser refroidir.
Monter les blancs en neige et les serrer en ajoutant le sucre.
Détendre la pâte de pistache avec un peu de blanc en neige.
Incorporer délicatement avec une spatule la poudre d’amandes et le sucre glace aux blancs, puis ajouter la pâte de pistache et les pistaches grillées.
Dresser
sur papier cuisson en formant un rectangle.
Cuire au four à 170°C pendant 20 min, puis laisser refroidir.

pour la mousse au citron : recette de Loukoum, j’ai juste augmenté les quantités.
2 jaunes d’oeuf
3 blancs d’oeuf
3 CS + 1 CC de sucre en poudre
180 g de mascarpone
1 citron + 1/2
1  + 1/2 feuilles de gélatine
1CS de lait

Faire ramollir la gélatine dans l’eau froide, puis l’essorer et la dissoudre dans le lait tiédi.
Fouetter les jaunes d’oeuf avec les 3 CS de sucre jusqu’à blanchiment, ajouter le mascarpone et la gélatine.
Ajouter les zestes râpés et le jus des citrons.
Monter les blancs en neige et les serrer avec 1 CC de sucre. Les incorporer délicatement à la préparation précédente.

Montage :

Découper 6 disques dans la dacquoise à l’aide de cercles individuels (de diamètre 7,5 cm pour moi).

Tapisser les parois intérieures de chaque cercle d’une bande plastique pour un démoulage
plus facile.
Disposer au fond une dacquoise.
Couvrir
de mousse au citron, mettre au frais le temps que la préparation commence à prendre (compter 2 h).

Pour la gelée de framboises :

1 bol de framboises surgelées
2 CS de sucre
1 + 1/2 feuilles de gélatine (la prochaine fois, j’en mettrai moins car la gelée était à mon goût trop ferme)

Faire ramollir la gélatine dans l’eau froide.
Mélanger les framboises avec le sucre et faire tiédir au micro-ondes.
Ecraser grossièrement à la fourchette, ajouter la gélatine essorée et mélanger pour la dissoudre.
Laisser refroidir, puis verser sur la mousse au citron.
Remettre au frais et laisser prendre jusqu’au lendemain.

Démouler au moment de servir.

Gâteau chocolat-cardamome, cuisson sans four

C’est d’abord la présence de cardamome qui m’a attirée dans cette recette d’un ancien numéro du magazine Saveurs. Et puis en lisant le détail de la préparation, j’ai vu qu’il cuisait non pas classiquement au four, mais dans une casserole à la vapeur. Cela m’a intriguée et j’ai voulu tester.
Le résultat nous a bien plu : la texture est légère et moelleuse et il a un goût bien parfumé par la cardamome, déjà rien qu’à la cuisson, la cuisine embaume.
Par contre, la revue annonçait un « cake mi-cuit », je l’ai pourtant laissé, par erreur, un peu moins longtemps qu’indiqué et le mien était cuit à coeur. Mais pas sec, ni étouffe-chrétien pour autant.
J’ai très légèrement modifié les ingrédients : en particulier remplacé le café par de la chicorée liquide. On ne devine pas sa présence, mais je pense qu’elle participe avec la cardamome au parfum du gâteau.
Voici donc ma version.

Gâteau chocolat-cardamome


150 g de chocolat noir à pâtisser
50 g de cassonade
75 g de beurre ramolli
120 g de farine
1 CC de levure chimique
20 g de poudre d’amande
2 oeufs
2 CC de chicorée liquide
15 cL de lait
1 CS de gousses de cardamome verte
1 pincée de sel

Récupérer les graines contenues dans les gousses de cardamome et les écraser dans un mortier.
Dissoudre la chicorée dans le lait et ajouter au chocolat coupé en morceaux, faire fondre au bain-marie, mélanger et laisser tiédir.
Mélanger à la fourchette le beurre mou avec la cassonade.
Ajouter les oeufs un à un en mélangeant bien à chaque fois.
Mélanger la levure avec la farine, ajouter à l’appareil précédent tout en mélangeant.
Ajouter la cardamome, la poudre d’amande, le sel et le chocolat fondu, mélanger le tout.
Verser dans un moule bien beurré (j’ai utilisé un moule à soufflé de diamètre 17 cm).
Couvrir d’un papier cuisson maintenu à l’aide d’une ficelle.
Dans une casserole haute ( j’ai utilisé l’autocuiseur), placer un panier à vapeur en le surélevant par des cercles métalliques ou autre.
Ajouter de l’eau : suffisamment pour qu’il en reste en fin de cuisson et pas trop pour que le panier n’y trempe pas.
Faire bouillir l’eau, déposer le moule dans le panier, couvrir et laisser cuire pendant 1h10 ( 1h20 sur la recette).
Laisser refroidir avant de démouler.

Turbotins poêlés aux pointes d’asperges et morilles

Voici un plat du dimanche que je n’avais pas prévu, mais le marché permet de faire parfois de belles trouvailles, ici les premières asperges vertes du pays et des petits turbots portions pas trop chers, alors il fallait sauter sur l’occasion. J’ai tout de suite pensé à les associer à des morilles, pas des fraîches malheureusement.

Un plat raffiné et goûteux, pourquoi pas pour Pâques, la sauce et la cuisson des asperges peuvent se faire à l’avance.

Turbotins poêlés aux asperges et morilles

Pour 2 personnes :

2 turbotins de 300 à 400 g chacun, vidés, ététés et ébarbés par le poissonnier
10 g de morilles séchées
250 g d’asperges vertes
10 cL de vin blanc
25 cL de fumet de poisson (pour le faire soi-même, voir ici)
3 échalotes
beurre
10 cL de crème liquide
sel, poivre

Faire tremper les morilles dans un bol d’eau froide pendant 1à 2 h, les rincer soigneusement pour bien éliminer les grains de sable.
Casser et éliminer la base des asperges, couper les tiges en petits tronçons, réserver.
Cuire les pointes à l’eau bouillante salée 5 à 10 min, réserver.
Préparer la sauce : faire revenir sans colorer les échalotes hachées avec un peu de beurre, ajouter éventuellement les morilles les plus petites et peu présentables coupées en morceaux, cuire 2 minutes, puis ajouter le vin blanc et laisser réduire presque complètement.
Ajouter le fumet de poisson, les tronçons de tiges d’asperges et laisser réduire à nouveau jusqu’à ce qu’il ne reste que quelques CS de liquide.
Ajouter la crème, faire bouillir 10 min, filtrer, saler, poivrer, réduire encore si nécessaire, réserver au chaud.
Faire sauter les morilles dans un peu de beurre, ajouter les pointes d’asperges et laisser réchauffer doucement à couvert.
Cuire dans une poêle antiadhésive les turbotins d’abord côté peau noire, retourner au bout de 4 min ( ou plus selon l’épaisseur), cuire encore 4 min, ôter la peau noire (elle se détache facilement une fois cuite), saler.
Déposer chaque turbotin dans une assiette, ajouter quelques asperges, des morilles et un peu de sauce.
Servir bien chaud.

Excellent accord avec un vin blanc de Bourgogne : un Meursault.

C’est reparti avec des tartelettes citron-pistache

Voilà, je me suis décidée à reprendre ce blog, le moral va mieux, j’ai retrouvé l’envie de cuisiner et je vais donc pouvoir à nouveau vous faire profiter de mes essais et revenir voir les recettes des blogueuses(eurs).

J’avais mis de côté depuis longtemps plusieurs recettes de lemon curd, mais je n’avais jamais réalisé cette crème au citron, eh bien voilà qui est fait. Pour les quantités, j’ai fait un mix des recettes que j’avais, car les proportions de beurre et de sucre varient beaucoup, certaines utilisent de la gélatine, je n’en ai pas mis, la crème se tenant bien d’elle-même une fois refroidie. Elle a bien sûr un goût acidulé, mais aussi une texture très onctueuse, elle est délicieuse tout simplement à la petite cuillère !

Lemon curd

100 g de sucre
2 citrons
2 oeufs
50 g de beurre

Laver en brossant les citrons sous l’eau courante, râper la peau et presser le jus.
Dans une casserole, mélanger le jus des citrons avec les zestes, le sucre et les oeufs, ajouter le beurre coupé en morceaux.
Chauffer en remuant sans arrêt jusqu’à épaississement (env 5 min), surtout ne pas faire bouillir.
Verser dans un pot, laisser refroidir, puis garder au frais.

J’ai utilisé une partie de ce lemon curd pour garnir des tartelettes en pâte sablée à la pistache.


Pâte sablée pistache

Pour cette pâte, j’ai utilisé les proportions indiquées par Soso sur son blog la cuisine de Soso

 50 g de sucre glace
100 g de beurre ramolli
1 oeuf
1 CS de pâte de pistache

250 g de farine
20 g de sucre
30 g de poudre d’amandes
sel

Mélanger à la fourchette le beurre, le sucre glace, l’oeuf et la pâte de pistache.
Dans un saladier, mélanger la farine, le sucre, la poudre d’amandes et le sel.
Faire un puits et y ajouter le premier mélange.
Incorporer peu à peu la farine, asperger de quelques gouttes d’eau si nécessaire pour former une boule.
Laisser reposer 1/2 h au frais.
Etaler la pâte, découper des disques à l’aide d’un emporte-pièce et foncer les empreintes d’un moule silicone à tartelettes, laisser reposer 10 min, le temps de préchauffer le four à 175 °C.
Cuire 10 à 15 min, puis laisser tiédir dans le moule.

Avec 180 g de pâte qui attendait au congélateur, j’en ai fait une vingtaine.

Garnir les tartelettes tièdes de lemon curd et laisser refroidir complètement avant de déguster.
Elles sont d’ailleurs vraiment meilleures le lendemain, la pâte est plus fondante et les saveurs acide pour le citron et douce pour la pistache se sont bien équilibrées.

Accompagnées d’un Gewurztraminer (Alsace), c’est un pur délice !!

Une petite dernière …

Biscuits à la vanille

Géranium sur son blog « Saveurs » parle si bien de ses petits gâteaux que je n’ai
pas résisté, j’en ai même déjà fait deux fois!
Je n’avais jamais
réalisé ce genre de pâte à gâteaux secs avec de la levure, elle donne
des biscuits craquants et légers, au délicieux goût de vanille. Je pense en refaire à l’eau de fleur d’oranger.
J’ai suivi la recette de Géranium pour la pâte en divisant les quantités par 3, j’ai un peu modifié la dorure.

Biscuits à la vanille

Pour une vingtaine de petits gâteaux :

50 g de beurre
50 g de sucre
1 oeuf
1 CS de lait
1 CS de vanille liquide
135 g de farine
1 CC de levure chimique

pour la dorure :
un peu de jaune d’oeuf
1 CC de vanille liquide
2 CC de lait
un peu de sucre glace

Fouetter à la fourchette le beurre en pommade avec le sucre.
Prélever une petite CC du jaune de l’oeuf, réserver et ajouter le reste de l’oeuf au mélange beurre-sucre, mélanger.
Incorporer le lait et la vanille, puis la farine et la levure tamisées : on obtient une pâte homogène et souple.
Laisser reposer 30 min au frais.
Etaler la pâte sur un plan de travail bien fariné et découper des disques avec un emporte-pièces (6 cm pour moi).
Les disposer sur une plaque à four tapissée de papier cuisson, en les espaçant un peu car ils s’étalent légèrement à la cuisson.

Mélanger le jaune réservé avec le lait et la vanille liquide et dorer les biscuits avec ce mélange.
Laisser sécher un peu et rayer la surface à l’aide d’une fourchette (mes rayures se sont estompées à la cuisson …).
Saupoudrer de sucre glace.
Cuire au four préchauffé à 180°C pendant 11 min.
Laisser refroidir sur une grille.

Des petits gâteaux vite faits, délicieux à l’heure du thé et qui se gardent bien plusieurs jours !

Tartelettes filo aux moules safranées

Il ne s’agit pas vraiment d’une nouvelle recette puisque je vous ai déjà proposé ces moules aux légumes safranés ici.
C’est la présentation qui change, j’ai remplacé la pâte feuilletée par une tartelette en pâte à filo.

Tartelettes filo aux moules safranées

Confection des tartelettes :

Prévoir 1 feuille de filo par tartelette.

Découper dans chaque feuille 4 carrés un peu plus grands que les moules à tartelettes.
Les badigeonner rapidement sur une face avec un peu de beurre fondu pour éviter le dessèchement.
Superposer les 4 carrés en les décalant un peu à chaque fois.
Foncer chaque moule avec une superposition de 4 carrés, côté beurre en-dessous.
Redécouper les bords de pâte si nécessaire de sorte à obtenir une forme harmonieuse.
Badigeonner le dessus de la pâte avec du beurre.
Mettre au four préchauffé à 175°C environ 10 min : les tartelettes sont dorées, légèrement boursouflées, mais elles retomberont avec la garniture.
Les sortir délicatement des moules à tartelettes et les déposer sur une plaque à four.
Il ne reste plus qu’à les garnir comme on veut, ici des moules aux légumes safranés selon la recette indiquée au début ( j’ai pu faire 2 tartelettes par personne avec les quantités de garniture indiquées).
Puis on repasse au four quelques minutes pour réchauffer l’ensemble.

L’utilisation de la pâte à filo permet de varier les présentations et surtout, nous avons apprécié la légèreté par rapport à une pâte feuilletée. C’est sûr que j’en referai avec d’autres garnitures.

Tarte au chou

Voici une petite tarte qui m’a fait deux déjeuners : pratique il n’y a qu’à réchauffer le lendemain !

La pâte à tarte est largement inspirée de celle de Laurence Salomon : elle est légère et bien croustillante.

Tarte au chou

Pour une petite tarte de 20 cm de diamètre (doubler les quantités pour une taille normale)

Pour la pâte :
100 g de farine d’épeautre (sinon farine ordinaire)
30 g de flocons d’avoine réduits en poudre
1 CS de graines de pavot
1/2 CC de sel
3 CS d’huile d’olive
5 CS d’eau

Pour la garniture :

1/4 chou vert
1 oignon
75 g de lard fumé
1 oeuf
5 cL de crème liquide
5 cL de lait
comté râpé (facultatif)
huile
sel, poivre

Mélanger la farine, les flocons d’avoine, le pavot et le sel.
Ajouter l’huile et mélanger en sablant.
Ajouter peu à peu l’eau jusqu’à pouvoir former une boule.
Laisser reposer 1/2 h.

Laver les feuilles du chou, éliminer les côtes dures, puis couper en lanières.
Faire blanchir 1 min à l’eau bouillante, égoutter et rafraîchir sous l’eau froide.
Remettre le chou dans de l’eau bouillante salée et cuire 5 min à découvert, égoutter, rafraîchir et égoutter une dernière fois.
Peler l’oignon, l’émincer et le faire revenir quelques minutes avec un peu d’huile.
Couper le lard en lardons, ajouter à l’oignon et laisser dorer 5 min.
Ajouter le chou bien égoutté, mélanger et laisser cuire encore quelques minutes pour éliminer l’eau qui ressort.

Etaler la pâte, foncer une tourtière graissée (beurre ou huile).
Garnir la pâte avec le mélange oignon-lard-chou.
Battre l’oeuf avec le lait et la crème, ajouter du sel (peu, car le lard est salé) et du poivre, puis verser sur le mélange.
Parsemer d’un peu de comté râpé.
Cuire au four préchauffé à 200°C pendant 1/2h.

Comme il me restait un peu de pâte, j’en ai fait des croisillons sur le dessus de la tarte.